jeudi 14 janvier 2016
Maé,
Tu es arrivée le 30 Novembre dernier
Par surprise, un beau matin, j’ai appris que tu étais née
Ton Papa m’a appelé pour t’annoncer
Son sourire ne le quittait pas, déjà il t’admirait
Depuis il ne cesse de répéter,
« Qu’elle est belle ma Maé »
Et c’est bien vrai !
Vite je suis montée à Paris pour te rencontrer
Je t’ai embrassée, portée, parlée, habillée, photographiée
Tu as mangé, rigolé, pleuré, gigoté, ronchonné, gazouillé
On a joué
On a dansé, dansé
Et je me suis amourachée
Tes toutes petites mains, tes tous petits poignets, ton tout petit nez,
Et tes grimaces. Comment résister ?
Et puis déjà j’ai dû te quitter
Mon cœur s’est serré
Je m’en vais loin, Maé
Mais ne t’inquiète pas, même éloignée,
Je te regarderai
Marcher, sauter, danser,
Virevolter !
2 Commentaires
Trop jouli j’en ai les larmes aux yeux!
Je suis touchée que mes mots t’émeuvent.
Merci pour les tiens qui me font du bien.
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